D�position de Henry Phair, mars 1880
HENRY PHAIR. — Je suis constable de comt� et d�tective de la ville : j’ai �t� engag� dans le canton de Biddulph pour enqu�ter sur cette affaire; je connais Patrick Ryder, fils : je me souviens du jour o� il a �t� arr�t� : je l’ai ramen� de Lucan en compagnie du chef; nous parlions du meurtre et de choses et d’autres; nous parlions de l’�glise; nous parlions des gens en Irlande; il m’a dit que le pr�tre avait maudit les Donnelly dans l’�glise de Biddulph; [...] je lui ai demand� comment la soci�t� avait �t� cr��e; il a dit que les gens �taient all�s � l’�glise et qu’il y avait un registre qu’ils devaient signer et que des d�pr�dations avaient �t� commises; les Donnelly �taient si m�chants qu’ils avaient �t� maudits du haut de l’autel; [...] c’est apr�s qu’il m’a parl� de la formation du comit� de vigilance; il a dit que le pr�tre avait cr�� la soci�t� [...]